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Citation

La paix

Le monde connaitra la paix lorsqu’il arrêtera de parler du passé pour ne parler que de l’avenir.

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Dialogue

Le Chinois

Elle s’exclame: « Mais je ne t’ai pas dit que je voulais manger un chinois, je t’ai dit que je voulais me faire un chinois mais un restaurant chinois. Pas un chinois. Relâche ce pauv’ type. Tu ne va quand même pas le tuer ? »
Elle le détache: « Oh excusez nous monsieur, mon mari est impardonnable ! »
Elle cherche dans son sac, prend son porte-monnaie et en sort un billet de dix. Elle le tend: « Tenez, prenez c’est pour vous, pour le taxi. Rentrez chez vous et excusez nous pour le dérangement… et pour ça… là… ces quelques bleus. N’allez pas porter plainte. Mon mari ne sait pas s’ qu’il fait. Il boit toute la journée. »

A suivre…

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Dialogue

L’entretien

La psy: « Et que faites vous dans la vie ? »
Il dit à sa psy : « je suis acteur ! »
La psy lui répond : « Acteur mais c’est formidable ! Je peux peut être vous aider, j’ai un ami réalisateur, je vais vous le présenter. Il est toujours à la recherche de nouveaux profils un peu décadents. Des gens bêtes et méchants un peu comme vous ! C’est exactement ce qu’il recherche ! Vous êtes le profil parfait ! Des gens hors normes capable d’interpréter des personnages monstrueux. C’est parfait pour lui. En plus je suis sure que vous ne manquez pas de talent ! Tenez voici sa carte ! Contactez le et n’oubliez pas de dire à sa secrétaire que vous venez de ma part. Docteur Reck ! Vous ne direz plus maintenant à qui veut l’entendre, que je suis un médecin sans coeur avec ses patients. »

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Synopsis

Sous les toits

Un jeune couple héberge dans leur maison commune, leurs parents respectifs âgés tous deux d’une soixantaine d’années. Elle héberge Naïma, sa mère. Et lui Joshua, son père. Tous deux sont célibataires mais vont rapidement tomber amoureux, rapprochés par leurs différences religieuse et culturelle.

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Jeunesse

Myrthe et Bolide

Bolide était un petit animal sale et répugnant. il puait tellement que sa maman l’avait chasser du nid. Son haleine était fétide et son poil hirsute.
tout le monde de la forêt le repoussait et personne ne voulait jouer avec lui.
Sauf peut être Myrthe la marmotte, qui était si mioppe que tout le monde pensait que c’était une taupe. elle n’avait aucun odorat et pas d’amis non plus. Confondant sans doute Bolide avec un de ses congénères elle lui sauta dans les bras un jour qui n’était fait comme un autre. Tout deux roulèrent et boulèrent et finirent par tomber dans une grande flaque d’eau.
Ils rient tellement de cette drôle d’aventure qu’ils ne se séparèrent plus.
Bolide était redevenu tout propre et Myrthes avait à nouveau un ami.
La vie était dès lors redevenu parfaite dans le petit monde merveilleux des animaux de la forêt.

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Dialogue

voilà tout

« Tous les grands businessmen se sont déjà fait arnaquer. C’est hélas aussi comme ça qu’on apprend ! Le monde des affaires est ainsi fait ! Un monde plein de bêtes affamées, prêtes à tout pour manger ! Même à t’arnaquer !

Tu croyais avoir de l’instinct ? Mais tu es encore trop tendre ! Certaines personnes sont mieux armées que toi face à ce genre de situations. C’est comme ça ! Tu es meilleur pour tout autre chose, voilà tout ! Tu n’as pas le sens des affaires ! Tu serais sans doute meilleur comme employé de maison !

Regarde ce type qui lave les voitures là-bas. Il n’a pas à se soucier de savoir si ses investissements lui rapportent ou non à la fin de la semaine, ni même à la fin de la journée ou à la fin du mois. Il travaille pour une boîte privée d’entretien de véhicules qui lui assure son salaire. Tu devrais essayer de te faire embaucher dans ce genre de boîte. Là, tu serais en sécurité. Tu aurais une pause à 11h et ton sandwich à 12h30.

Tu ne viendrais pas me casser les noix parce que t’as perdu 100 balles sur une position mal estimée. Mais rassure-toi, p’tite tête, la journée n’est pas finie, les marchés sont encore ouverts. »

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Classé

Le livre

Et il m’offrit pour la seconde fois ce même livre. Emballé dans un paquet cadeau. Il l’avait récupéré dans la bibliothèque de ma petite chambre d’étudiant. Et l’avait emballé comme si il me l’offrait pour la première fois. Il me dit: « lis le et relis le encore, ce livre est magique. Il est tout. Ce que je peux t’offrir de mieux. Il t’ouvriras toutes les portes de la vie. »

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Classé

Les murs

Jean MURE était un de ces hommes de petite taille à qui on ne pouvait rien refuser. Du haut de ses 1m55 il c’était créer au fil de sa vie un solide réseau professionnel. Son truc à lui c’était le batîment. Il aimait construire batir et déconstruire. Sentir la poussière de ciment et faire couler le béton. Il aimait parler du prix des parpaings avec ses fournisseurs et des nouveaux modèles de panneaux électrique. Un jour qui n’était pas comme un autre vu arriver sur le chantier, son fils unique prénommé Framboisier. Framboisier lui aimait la comptabilité, adorait les chiffres et détestait le beton. Son bureau climatisé était le seul endroit sur terre ou Framboisier se sentait à l’aise. Tout les deux étaient complémentaire même si Framboisier avait conscience que son père n’était plus qu’un dinosaure dans son domaine. Framboisier avait sans cesse à l’esprit qu’il devait apporter sa touche de modernité à l’entreprise familial même si cela déplaisait à Jean. Un nouveau stylo par ici, de nouveau niveaux par là, une calculatrice ou un téléphone mobile pour Jean était déjà d’énorme avancement dans cette petite entreprise.

A suivre…